Si l'on me demande ce qu'est la sophrologie, je serais bien en peine de répondre, si l'on me demande comment cela fonctionne, je ne saurais pas non plus répondre à cette question avec précision. Je commence juste à ressentir les effets bénéfiques de la sophrologie, au bout d'une dizaine de séances. Cela a commencé à m'intriguer au bout de la troisième séance... Il s'est produit quelque chose en moi d'inédit, de surprenant, et surtout d'agréable.
Les aléas de la vie m'ont amené à fréquenter des réparateurs d'âmes depuis pas mal d'années, parce que j'ai rapidement identifié que quelque chose (ou pas mal de choses) m'empêchait d'atteindre un niveau de complétude satisfaisant. La sensation d'un manque, de "tourner avec deux cylindres sur 4". Et puis des casseroles à traîner, des héritages freudiens dont on se passerait aisément !! Et alors, en conséquence, la vie qui tourne en rond, les mêmes erreurs qui se reproduisent de manière cyclique. Logique, après tout, tant que leurs causes ne sont pas vaincues !
Et puis, un sentiment de fatalisme qui s'installe à force "d'aller chez les psys" : ok, on m'a fait comprendre ce qui pose problème dans mon "moi", on m'écoute, soit, j'en ai besoin, cela me fait du bien, mais... cela ne mène pas aussi loin que je voudrais aller... Pourquoi ? Je joue pourtant le jeu, je me livre, je me fous symboliquement à poil, sans concessions, je ressors parfois de chez le psy dans un état assez lamentable : creusé trop loin, on a enlevé la terre, la roche est à nu, on se sent vulnérable. Une bonne nuit là-dessus, et l'on se sent plus fort, soit, mais après, il y a comme une retombée, un peu comme le tango : trois pas en avant, deux pas en arrière ; ça avance, certes, mais le fatalisme évoqué plus haut naît de ce constat "qu'il ne faut pas en attendre de miracle". En paraphrasant Coluche, je ressens un peu la psychothérapie de la manière suivante : "Avant je faisais pipi au lit, j'avais honte !!!! Alors je suis allé voir un psy. Depuis, je fais toujours pipi au lit, mais j'en suis fier !!!". J'exagère, je blague, pardon pour ce trait caricatural. Mais bon sang, que peut bien apporter la sophrologie de plus que la psychothérapie ? Je dirais, ça n'apporte pas plus, ça apporte autrement, en tout cas en ce qui me concerne. Autrement, OK, mais comment ? En psychothérapie, il s'agit d'un rapport thérapeutique avec deux acteurs, avec la sophrologie, c'est "de moi à moi". Je suis l'acteur. Et la sophrologue, alors, que fait-elle ? Elle me permet de faire ma propre rencontre, rien de moins. Et je pense que cela fait toute la différence. En sophrologie, j'ai la sensation qu'il n'y a pas cet effet "trois pas en avant, deux en arrière", ce qui est acquis est acquis. Si ce que je veux atteindre se trouve sur une haute étagère, la psychothérapie me fournit une échelle, la sophrologie me grandit. J'avance, maintenant, j'avance !! Merci, Françoise.
Herbert
J'ai essayé la Sophro un peu par hasard... je ne connaissais pas vraiment les bienfaits et puis j'ai tenté. Connaissant Françoise personnellement, c'était un avantage pour faire le pas. Ce n'est pas moi qui m'en suis rendu compte directement, c'est ma femme! Je sentais bien que dès la première séance j'étais plus sain et reposé mais c'est à la maison que ma femme m'a fait la remarque. Plus calme et plus posé, j'ai compris la technique pour le faire à chaque moment stressant et important. Réussite d'examen, réussite de permis, stress beaucoup moins important et je dors mieux (Souvent avant de dormir).
C'est pas infaillible et nous ne sommes pas un sur homme, loin de là, mais d'un "avant/après", je réagis beaucoup mieux en situation stressante/angoissante. La voix calme et reposée de Françoise aide énormément et souvent, pour certaines choses réussi dans ma vie, je la remercie avant tout pour m'avoir redonné confiance en moi.
Merci pour tout Françoise!
Quentin
Les aléas de la vie m'ont amené à fréquenter des réparateurs d'âmes depuis pas mal d'années, parce que j'ai rapidement identifié que quelque chose (ou pas mal de choses) m'empêchait d'atteindre un niveau de complétude satisfaisant. La sensation d'un manque, de "tourner avec deux cylindres sur 4". Et puis des casseroles à traîner, des héritages freudiens dont on se passerait aisément !! Et alors, en conséquence, la vie qui tourne en rond, les mêmes erreurs qui se reproduisent de manière cyclique. Logique, après tout, tant que leurs causes ne sont pas vaincues !
Et puis, un sentiment de fatalisme qui s'installe à force "d'aller chez les psys" : ok, on m'a fait comprendre ce qui pose problème dans mon "moi", on m'écoute, soit, j'en ai besoin, cela me fait du bien, mais... cela ne mène pas aussi loin que je voudrais aller... Pourquoi ? Je joue pourtant le jeu, je me livre, je me fous symboliquement à poil, sans concessions, je ressors parfois de chez le psy dans un état assez lamentable : creusé trop loin, on a enlevé la terre, la roche est à nu, on se sent vulnérable. Une bonne nuit là-dessus, et l'on se sent plus fort, soit, mais après, il y a comme une retombée, un peu comme le tango : trois pas en avant, deux pas en arrière ; ça avance, certes, mais le fatalisme évoqué plus haut naît de ce constat "qu'il ne faut pas en attendre de miracle". En paraphrasant Coluche, je ressens un peu la psychothérapie de la manière suivante : "Avant je faisais pipi au lit, j'avais honte !!!! Alors je suis allé voir un psy. Depuis, je fais toujours pipi au lit, mais j'en suis fier !!!". J'exagère, je blague, pardon pour ce trait caricatural. Mais bon sang, que peut bien apporter la sophrologie de plus que la psychothérapie ? Je dirais, ça n'apporte pas plus, ça apporte autrement, en tout cas en ce qui me concerne. Autrement, OK, mais comment ? En psychothérapie, il s'agit d'un rapport thérapeutique avec deux acteurs, avec la sophrologie, c'est "de moi à moi". Je suis l'acteur. Et la sophrologue, alors, que fait-elle ? Elle me permet de faire ma propre rencontre, rien de moins. Et je pense que cela fait toute la différence. En sophrologie, j'ai la sensation qu'il n'y a pas cet effet "trois pas en avant, deux en arrière", ce qui est acquis est acquis. Si ce que je veux atteindre se trouve sur une haute étagère, la psychothérapie me fournit une échelle, la sophrologie me grandit. J'avance, maintenant, j'avance !! Merci, Françoise.
Herbert
J'ai essayé la Sophro un peu par hasard... je ne connaissais pas vraiment les bienfaits et puis j'ai tenté. Connaissant Françoise personnellement, c'était un avantage pour faire le pas. Ce n'est pas moi qui m'en suis rendu compte directement, c'est ma femme! Je sentais bien que dès la première séance j'étais plus sain et reposé mais c'est à la maison que ma femme m'a fait la remarque. Plus calme et plus posé, j'ai compris la technique pour le faire à chaque moment stressant et important. Réussite d'examen, réussite de permis, stress beaucoup moins important et je dors mieux (Souvent avant de dormir).
C'est pas infaillible et nous ne sommes pas un sur homme, loin de là, mais d'un "avant/après", je réagis beaucoup mieux en situation stressante/angoissante. La voix calme et reposée de Françoise aide énormément et souvent, pour certaines choses réussi dans ma vie, je la remercie avant tout pour m'avoir redonné confiance en moi.
Merci pour tout Françoise!
Quentin